Hier
– Fin du code du travail protecteur,
– L’Etat d’urgence est dans le droit Commun
– les salaires sont bloqués
– L’accès au soins est de plus en plus rendu difficile (avec par exemple de nombreux dépassement des honoraires des spécialistes)
– Suppression ISF et continuité du CICE : ce sont des dizaines de milliards d’euros transférés aux entreprises et au patronat.
Aujourd’hui
– Avec Parcoursup et la généralisations de la sélection, ce sont les lycées et l’enseignement supérieur qui seront profondément transformés.
– Pour la fonction publique c’est un plan social de 120 000 emplois que le gouvernement prépare.
– le gel du point d’indice, le rétablissement du jour de carence et la mise en place du PPCR (les professeurs n’ont pas vu de changement de leur fiches de paie) = C’est l’austérité qui dure et se prolonge pour longtemps.
– Pour les précaires c’est un durcissement de leurs conditions avec la réforme de l’assurance chômage.
L’état devenant décisionnel, on peut s’attendre à des baisses de l’indemnisation.
Avec la volonté de privatiser la SNCF comme précédemment la poste, le Gaz et l’électricité, le gouvernement prépare la liquidation des personnels comme cela a été fait chez Orange avec ses dizaines de suicides managériaux pour mieux livrer les parties rentables de la SNCF aux appétits privés.
Le SUNDEP Solidaires dénonce la casse du Service Public, et manifestera le 19 avril 2018...
Demain
Macron veut encore attaquer nos retraites, recruter un maximum de précaires comme cela a été depuis 2012 avec les précaires CDisés en restant toujours précaires : pas de garantie d’emploi, pas de garantie de la quotité d’horaire d’une année sur l’autre...
La France va devenir quoi ?
Nous sommes les citoyens qui pouvons dire non, résistons et manifestons tous dans la rue le 19 avril...Le SUNDEP Solidaires ne lâchera rien.
